09 octobre 2007

Petit rigolo, suite et fin

Petit rigolo, suite et fin

Il n’a pas laissé son nom, ce qui est bien dommage, mais un message réagissant à ma chronique précédente. Je vais, si vous le voulez bien et même en cas contraire, mettre à profit ces colonnes pour lui répondre.

Alors, pour résumer, Monsieur « Courageux anonyme », comme on dit sur Rue 89, déclare dans son commentaire que , en gros, mais ce n’est que mon interprétation personnelle, face aux graves évènements politiques qui agitent et la France et le monde, Alain Rémond pourrait tout de même nous parler d’autre chose que des photos floues et des cintres, et que en conséquence, Alain Rémond est soit un amateur , soit un tire-au-flanc. Et mon correspondant de citer en exemple absolu de sérieux journalistique, je vous le donne en mile, Guy Konopnicki.
Cher monsieur, je vous invite, pour prouver la vacuité de votre raisonnement et ce sans contestation possible, à lire le « Marianne de cette semaine. De quoi, je vous le demande, parle dans ces colonnes celui que vous tenez pour un parangon de billettiste vertueux, j’ai nommé Guy Konopnicki ? D’une sombre affaire concernant le communisme, Sarkozy et un intellectuel médiatique. Est-ce bien sérieux en ces temps de guerre en Irak, de crise ne Iran et de scandale chez EADS ? Tout être normalement sensé, dont je ne doute pas que vous fassiez partie, répondrait, vous en conviendrez aisément. Et de quoi, en revanche parle Alain Rémond ? D’un sujet, je suis désolé de le dire d’une incroyable pertinence, l’accroissement constant de l’intelligence électronique conduisant de fait à un modèle de société inacceptable, blabala, humain, machine, privation de liberté, gnagnagnignagna, on est touS fichés, etc., sujet ô combien actuel. Ha,ha,ha ! Voilà qui prouve définitivement que oui, Alain Rémond est un journaliste consciencieux, alors que Guy Konopnicki, hum, bon ; de quoi clore une bonne fois pour toute le sujet.

Enfin, mon correspondant précise, à la fin de son intervention, vil flatteur, qu’il « aime bien retrouver [mon]papier du mardi », ce qui tombe très bien vu que c’est essentiellement grâce à lui que les prairies arides de mon inspiration vacillante se sont de nouveau reverdies et que si il va pouvoir ce soir apprécier mes écrits il ne pourra que s’auto-congratuler.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Histoire de l'âne Pedro

C'est François qui part s'installer au Mexique. Une fois là-bas, il achète un ranch, puis il va au village chez le vendeur de chevaux.
- Bonjour M. le vendeur de chevaux, j'ai acheté le ranch au bord de la falaise et j'aimerais acheter 5 chevaux.
- J'ai 5 chevaux à vous vendre, mais il faut également acheter mon âne. Son nom est Pedro.
- Je n'ai pas besoin d'âne, uniquement de 5 chevaux.
- Mais je vous assure...
- NON !
- Bon, comme vous voulez, mais je vous ai prévenu.

Donc François prend ses chevaux et les lâche sur son terrain bordé d'une falaise. Le lendemain il va s'assurer que tout va bien. Une fois arrivé sur son terrain... Oh ! Stupeur, les 5 chevaux sont morts écrasés au bas de la falaise. Et comme il lui faut absolument des chevaux, il retourne chez le vendeur.
- Bonjour M. le vendeur, mes chevaux sont morts, il m'en faut 5 autres.
- J'ai 5 chevaux à vous vendre, mais il faut également acheter mon âne. Son nom est Pedro.
- Je ne veux pas d'âne, uniquement 5 chevaux.
- Mais je vous assure...
- NON !!!
- Bon, comme vous voulez, mais je vous ai prévenu.

Sur ce les 5 chevaux achetés sont immédiatement enfermés dans l'enclos au bord de la falaise. Le lendemain, quand François va voir ce qu'ils deviennent, il retrouve les 5 chevaux morts au bas de la falaise.
- Pas possible ! Encore ! ... Il m'en faut 5 autres.

Il retourne donc chez le vendeur.
- Bonjour M. le vendeur. Les 5 chevaux que vous m'avez vendus hier se sont écrasés au bas de la falaise. Est-ce qu'il vous en reste 5 autres ?
- Il m'en reste 5 autres, mais il également acheter mon âne, son nom est Pedro.

François étant un peu abattu, il répond au vendeur :
- Bon d'accord je l'achète.

Et le soir même l'âne et les chevaux sont placés dans l'enclos au bord de la falaise. Le lendemain, François va voir comment vont ses animaux, et, surprise, l'âne et les 5 chevaux gambadent dans la prairie.
- Incroyable, ils n'ont pas sauté !!!

François est tellement content qu'il va voir le vendeur pour lui dire que ses chevaux sont encore en vie. Le vendeur lui répond :
- C'est normal je vous avais prévenu. Il fallait acheter l'âne tout de suite.
- Mais pourquoi ? Je ne comprends pas...
- Mais c'est simple. Pedro l'âne arrête la chute des chevaux.

Anonyme a dit…
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